En juillet, fini la danse des épis, place à la moissonneuse-batteuse qui avance en avalant les cultures.
Il est bien loin le temps où l’on voyait des vieilles machines bringuebalantes tirées par des tracteurs aux moteurs pétaradant ou encore celui des femmes et des hommes se balançant dans les champs armés de faux pendant d’interminables journées.